Ou retoucher des photos ?

Ou retoucher des photos ?

Est-ce que GIMP est gratuit ? GIMP est un logiciel d’édition et de retouche d’image, libre et gratuit. Il possède de nombreux outils pour retravailler une image et permet de réaliser des photomontages ou encore des dessins à la main. Ce logiciel peut être considéré comme une alternative à Photoshop car il dispose de fonctions similaires. Comment embellir son visage sur une photo ? Le secret inavouable s’appelle Facetune. L’appli permet d’embellir instantanément une photo mais dispose aussi d’une tonne de fonctionnalités (un peu trop d’après nous) pour retoucher son visage. Ici, on peut blanchir ses dents, lisser ou matifier sa peau, rendre son nez plus fin, ses lèvres plus pulpeuses…14 juin 2019 Quelle version de Photoshop est gratuite ? La version Creative Cloud de Photoshop est la seule qui puisse faire l’objet d’un essai gratuit de 7 jours. Quel est le meilleur logiciel photo gratuit ? La cerise sur le gâteau : certains sont gratuits ! Quel est le prix de Photoshop ? Quel est le prix de Photoshop ? Plusieurs formules et tarifs sont disponibles pour bénéficier de Photoshop et de toutes ses fonctionnalités : Formule annuelle, paiement mensuel : 23,99 €/mois. Formule annuelle, paiement en une fois : 287,77 €/an.

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Vous pouvez télécharger gratuitement Adobe Photoshop Express pour Windows 10 mais aussi pour les appareils mobiles sous Android (Smartphone et tablette), et sous iOS (iPhone, iPad). Avec Photoshop Express l’édition de photo devient facile d’accès et gratuite.27 juin 2022

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Les applications mobiles Photoshop gratuites Avec l’application mobile Adobe Photoshop Express, à télécharger gratuitement sur l’App Store et le Play Store, mais aussi sur le Microsoft Store pour Windows 10, vous disposez d’une version compacte et plus légère du logiciel.

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Adobe propose différentes formules selon votre situation. Un particulier payera la licence 23.99 € par mois. Pour une entreprise, la licence est à partir de 29.99 € Ht par mois. Vous pouvez aussi avoir Photoshop gratuitement en téléchargeant la version d’essai qui dure 7 jours.


Bonjour à tous et bienvenue dans cette vidéo du jeudi. Aujourd’hui on parle photo, un sujet qui me passionne. On verra ensemble les bases, les fondamentaux de la photo : ISO, ouverture, ça n’aura plus de secrets pour vous. On parlera matos et on verra ensemble quelles retouches d’images on peut apporter en post production. Tout d’abord la première chose à faire à la prise de vue c’est de se mettre en mode manuel Le mode manuel, bon il faut pas s’en faire tout un monde, tout un univers, ça vous donne simplement le contrôle sur trois paramètres dont on va discuter juste là. Les ISO, l’ouverture et la vitesse d’obturation pour qu’on puisse aller avec notre image dans la direction artistique qu’on cherche. Tout d’abord les ISO, qu’est ce que c’est ? Il faut se figurer les ISO comme étant la sensibilité du capteur donc cette valeur ISO représente à quel point ce capteur est photosensible, sensibles à la lumière. Le capteur dans votre appareil, c’est ce qui est entre l’objectif et votre boîtier. D’accord ? C’est le petit truc vert que vous pouvez voir. Plus les ISO sont hauts, Ok ? Plus le capteur est sensible et donc il va être imprimé même par très peu de lumière. Plus les ISO sont bas, plus il faudra beaucoup de lumière pour avoir la même impression. Les ISO c’est un calcul électronique numérique ce qui fait que plus on va les augmenter plus on va augmenter la quantité de bruits parasites dans notre image. Ensuite le deuxième paramètre important c’est la vitesse d’obturation. A l’époque où il y avait encore des miroirs dans les appareils photos parce que maintenant on est sur des générations plus mirroless, sans mirroirs. On pouvait s’imaginer ce miroir comme étant un rideau qui s’ouvrait et qu’il laissait passer la lumière au moment où on déclenchait. Puis qui se refermait, et ça c’est la vitesse d’obturation Le temps pendant lequel la photo est prise à partir du moment où on déclenche Elle est exprimée en fraction de seconde donc une seconde divisée par 50, une seconde divisée par 100. Donc on parle de cinquantième, de centième. Troisième paramètre très important c’est l’ouverture. À l’intérieur de votre objectif il y a un diaphragme, un cercle formé par des lamelles métalliques qui à une valeur élevée d’ouverture viennent se fermer et une valeur basse d’ouverture, s’ouvrir. Ça va nous servir à faire rentrer plus, ou moins de lumière sur notre capteur. Vous me direz : Paul super je pourrais rester à F 2.8 tout le temps et faire des photos avec plein de lumière. Seulement ces trois paramètres là ont des caractéristiques bien particulière. À pleine ouverture F 2.8 la zone de netteté va être très faible. Si je suis net près de l’objectif, je vais être très flou derrière. Ok ? Je pourrais pas être net sur tous les plans. À l’inverse, si je suis très fermé donc à F 18 et F 22, F 32 parfois, pour certains objectifs, vous allez pouvoir être net sur tous les plans ; sur mon doigt, et sur le fonds. Donc l’idée quand on prend une photo c’est de jouer constamment avec ces trois paramètres là qui sont un peu les caractéristiques de base de notre image. Ensuite dernière chose on doit parler de focales. Un objectif avec une courte longueur focale sera un grand-angle. Un 14 mm, par exemple, ça vous permettra d’avoir un angle de vue très très large. À l’inverse, un 200 mm ça va être un téléobjectif, quelque chose qui va être très zoomé, très resserré. Il fait nuit on va vouloir faire une photo, on vient se mettre sur un trépied pour que pendant toute la durée de la prise de la photo l’appareil ne bouge pas. On vient augmenter sa vitesse d’obturation. Ça va être un temps conséquent pendant lequel la lumière va rentrer dans l’appareil. Ça, ça va nous permettre de baisser les ISO, et on pourra comme sa fermer un peu l’ouverture, passer vers F 8, F9 pour être le plus net possible sur tous les plans. Également dans un temps d’obturation très long, c’est là on va pouvoir venir faire du light painting. C’est à dire que, comme la photo est prise pendant par exemple 10 secondes, si avec votre téléphone ou une lumière vous faîtes un tracé lumineux, comme on a pu faire dans la dernière vidéo du Mausolée, ce tracé lumineuse va être enregistré. À l’inverse, il fait plein jour, on veut prendre une photo d’un sujet en mouvement, d’un sujet en mouvement rapide, ou un mouvement rapide humain. On commence à pouvoir être net vers le 1 sur 500, vers le cinq-centième de seconde. Mais plus on monte, plus on est net et après il faut jouer avec les ISO et l’ouverture pour compenser justement cette perte de lumière. Vous avez été plein à me demander avec quel matos je travaille. Je travaille avec un Sony A7S2 Bon là ça ne se voit pas trop parce qu’il est caché derrière une coque en caoutchouc qui me permet quand je fais le salopard sur des grues de pas trop le frotter partout, On va dire ça comme. Vous m’avez également demandé comment est-ce que je fais quand il pleut. C’est tropicalisé donc quand c’est une fine pluie, je fais comme ça, je shoote quand même avec. Et par contre c’est vraiment torrentielle, là je vais avoir une fine protection en mode sac plastique, c’est affreux. Quand on a un micro ça fait du bruit donc c’est à déconseiller absolument, mais ça évite, voilà, que ce soit les chutes du Niagara sur le boîtier. C’est un boîtier Sony et qui est caractérisé par son grand capteur. Il a 42 mégapixels mais surtout une profondeur de couleurs très impressionnante. Une bonne résolution, 42 c’est énorme, ça nous permet parfois de pouvoir recadrer, remettre l’horizon droit, rentrer un peu dans l’image sans risque de perdre trop de qualité. C’est du très bon boîtier mais ils ont une toute petite batterie, toute riquiqui, ce qui fait que sa part super vite. En photo, bon on a pas trop à se plaindre, mais par contre en vidéo, je crois qu’on filme peut-être, aller, 45 minutes à la suite et encore, c’est en grande forme avant que la batterie soit morte. Donc prévoir beaucoup de batterie, on en a 14 à peu près de batteries. Vous avez été nombreux à demander est ce qu’on peut faire des photos sans matériel pro. Bien sûr. Moi j’ai pas commencé avec ça et ça m’a pris beaucoup de temps avant de pouvoir me payer des caméras comme ça. Moi j’ai commencé avec un tout petit Reflex. L’idée, l’important, c’est justement d’avoir le contrôle sur ces trois paramètres qu’on a vu juste avant. Parce que c’est ça qui va forger votre regard, vos choix artistiques et ça va vous donner plus d’options. Ce que je conseille pour ceux qui débutent c’est surtout partir sur de l’occasion car comme ça on se lie pas, justement, à la décote du neuf. On peut acheter et revendre si ça ne vous plaît pas. Et puis en plus ça va vous permettre pour le même budget d’avoir quelque chose de plus quali et vous allez moins rapidement aller au bout des limitations, justement, du boîtier. On peut même faire des photos sans matériel tout court, avec notre téléphone. Mon Galaxy S8, normalement, j’ai un mode pro et je peux régler les ISO et la vitesse d’obturation. C’est déjà un début. Il n’y a pas d’ouverture parce que forcément y’a pas de diaphragme, mais c’est le début de quelque chose. On peut même faire de la pause longue avec une attache pour trépied sur son téléphone et commençait un peu à se familiariser à ça. Coucher de soleil, roches volcaniques partout et les trois labradors qui jouent ensemble. Là je suis au millième et donc le 1000e ça me permet justement de figer le mouvement en l’air. Je suis à pleine ouverture, pleine ouverture du grand angle C’est F 4, d’accord ? Et donc en ISO, je compense pour avoir juste l’exposition qu’il nous faut. Donc ISO 640. Là où Lightroom j’aime bien, c’est que c’est assez linéaire on n’est pas perdu, les options c’est à la suite. Je commence par l’exposition, le contraste, ensuite j’enchaîne avec la température. Je baisse un peu souvent les hautes lumières pour récupérer un peu s’il y a des zones qui sont cramées dans les blancs. Et j’augmente souvent un peu les ombres pour justement venir récupérer si en augmentant du contraste j’ai trop assombri et la chose. Augmenter le contraste et baisser la luminosité ça nous permet justement de venir faire ressortir davantage les couleurs. Parce que quand l’image est trop exposée, les couleurs deviennent un peu fade. Quand on baisse l’exposition, on récupère de la couleur sans avoir à augmenter la saturation. Moi ce que j’aime bien faire c’est travailler par zone. C’est à dire que je viens assombrir ou éclaircir avec des filtres circulaires. Donc là par exemple j’ai éclairci les têtes des chiens avec un dégradé circulaire j’ai augmenté un peu l’exposition et j’ai mis un peu de clarté Attention, on peut pas en mettre trop, et suivant justement la profondeur de couleur qu’on a dans notre rond, ça va plus ou moins se dégrader rapidement. Donc faut faire attention avec la clarté et pas en abuser. Généralement autour de 20 maximum 40, on a ce qu’il faut. Encore une fois ça dépend du fichier. Ensuite j’ai fini par quelque chose que j’aime bien faire c’est une vignette qui vient concentrer un peu l’action vers le centre de l’image. Attention, pareil, à ne pas en abuser, d’accord ? Ça peut rapidement devenir moche. Et après en général, c’est comme tout. C’est à dire que, c’est le juste milieu : trop c’est trop et pas assez, ça mériterait un peu plus. Et donc là on vient dérouler toutes les options. Je commence par souvent, ajouter un peu de contraste, voir corriger un peu la balance des couleurs. J’ajoute du contraste mais du coup, je récupère ce que j’ai perdu dans les ombres en augmentant, justement, ces ombres. Et ensuite on vient travailler justement par zone. Là j’ai récupéré un peu de couleur sur le bas de l’image, sur la végétation avec justement un dégradé circulaire qui me permet de venir travailler seulement sur la végétation. Également je suis venu ajouter un peu de contraste sur l’île d’en face, l’île de La Graciosa, pour pouvoir justement qu’elles attirent davantage l’œil. Et j’ai fini par une vignette qui concentre encore davantage le regard et qui me permet de récupérer un peu de saturation sur les bords de l’image. Encore une fois il faut faire attention, donc la j’ai dé-saturé un peu pour qu’on soit pas trop saturé sur les bords. Pas loin de là où j’étais, il y avait un bunker Donc évidemment j’y suis entré. Il n’y a pas grand chose à dire ni à faire sur cette image. J’ai, voilà, baisser un peu les ombres, augmenter le contraste et ajuster un peu la balance des couleurs et le tour était joué. Et c’est là où c’est intéressant. Juste avant de partir en week-end j’ai fait un peu le sauvage dans la poussière avec mon boitier et donc j’ai eu plein de poussières sur mon capteur. Là trop tard pour le nettoyer en plus j’avais pas le matériel adéquat. Donc c’est quelque chose qui va devoir se faire enpost-production. Si vous avez des poussières comme çasur votre image : rien n’est perdu. Il y a un outil pour les enlever c’est juste là, le rond avec la flèche, on clique dessus et là, on va pouvoir, justement, sélectionner la zone qu’on veut remplacer par une autre. C’est très simple, c’est automatisé. Donc là comme d’habitude une fois que les retouches principales, globales, sont en faites, on vient s’intéresser localement à certaines zones qu’on vient éclaircir, augmenter un peu contre, ajouter un peu de clarté justement, pour qu’elles attirent plus le regard. Et ensuite ce que j’ai fait, j’ai ajouté une vignette assez large et je suis venu baisser l’exposition est teinté un peu de bleu. Puisque ce qui compte dans une image, c’est le contraste colorimétrique, le contraste entre le orange du soleil, les tons chauds, et les tons froids donc le bleu de la pierre. Et donc là j’ai envie de vous parler d’une image assez intéressante, en tout cas, au point de vue retouches. Puisque pour visiter ce parc national volcanique, le Timanfaya, c’est pas autorisé de le faire autrement qu’en bus. J’avais pas le temps mettre au point une infiltration, j’y restais que deux nuits. Donc malheureusement j’ai dû faire comme tout le monde, comme les touristes : monter dans le bus. Et là, frustration immense ! Puisqu’il nous a même pas été permis de sortir du bus pour prendre une photo. Toutes les photos que j’ai pu prendre, j’ai dû les prendre à travers la vitre. Ce qui même, en corrigeant la balance des blancs en fonction, a teinté mon image de vert. En voyant la photo j’ai fait bon ben c’est foutu. Mais non ! Si vous avez une image à travers une vitre qui ressort d’une mauvaise couleur, ne paniquez ne pas. On va pouvoir corriger ça. Et donc là quelques clics de balance des blancs, j’ai réussi à rétablir l’image initiale. Ensuite, et c’est là où ça devient important de pouvoir travailler avec un boîtier qui permet de recadrer c’est que j’ai pu, justement, rentrer dedans et me débarrasser des zones qui étaient polluées par trop de reflets. Un cadrage un peu plus minimal et je suis passé d’une image shootée au 35 mm à un équivalent je pense de 60/70 mm, dans ces eaux là, en termes de longueur focale. Donc voilà. Une fois qu’on a notre image corrigée et notre cadrage définitif, plus ou moins, on vient appliquer les retouches globales de l’image encore une fois, augmenter le contraste. Et ensuite on vient travailler justement, localement pour assombrir ou éclaircir certaines zones en fonction des points d’intérêts et de la lecture de l’image. Et c’est une fin tournage pour cette vidéo du jeudi. J’espère qu’elle vous a plu et que la prochaine fois qu’on parlera d’ISO, de vitesse d’obturation et d’ouverture vous saurez de quoi on parle. Pensez à vous abonner et à mettre un petit pouce en l’air si la vidéo vous a plu. D’ici là on se voit pour le débrief des aventures de Tchernobyl, l’infiltration, la zone d’exclusion. On vous promet fou rire et frissons. Pensez à aller voir les photos, elles sont toutes sur Instagram. D’ici là, on se voit jeudi pro. Entraînez-vous bien, portez-vous bien. Bonne soirée !

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