Quels sont les logiciels de programmation informatique ?
C’est quoi un logiciel de programmation ? Un logiciel est un ensemble de programmes (qui peuvent être écrits dans des langages de programmation différents) destiné à la réalisation de certaines tâches par un (ou plusieurs) utilisateurs du logiciel. La programmation représente donc ici la rédaction du code source d’un logiciel. Quel est le premier langage de programmation à apprendre ? Python a plusieurs avantages: il est le langage de programmation le plus facile à apprendre; Il a de nombreux outils et fonctionnalités qui facilitent la programmation.23 août 2022 Quels sont les 3 types de logiciels ? Dans le grand monde de la technologie de l’information, on peut constater 3 types de logiciels informatiques. Il y a les logiciels payants, les logiciels gratuits et les logiciels libres.6 déc. 2019 Quel est le logiciel le plus utilisé ? Lancé pour la première fois en 1990, Microsoft Office demeure sans aucun doute le leader mondial des logiciels commerciaux. Qui utilise Java ? Selon Oracle, Java est le langage le plus utilisé dans le DevOps, l’intelligence artificielle, la réalité virtuelle, le big data, l’intégration continue, les chatbots et bien d’autres domaines. Très souvent, les systèmes de production sont donc écrits en Java.3 sept. 2021
Quel est le langage le plus utilisé aujourd’hui ?
JavaScript, le plus demandé On retrouve JavaScript dans les devantures de sites, les outils analytiques, les widgets et les interactions web. Ce langage de programmation est très facile à apprendre, et peut être utilisé avec d’autres langages.18 août 2022
C’est quoi le programme Python ?
Le langage Python est un langage de programmation open source multi-plateformes et orienté objet. Grâce à des bibliothèques spécialisées, Python s’utilise pour de nombreuses situations comme le développement logiciel, l’analyse de données, ou la gestion d’infrastructures.10 mai 2021
Quel est le langage de programmation le plus utilisé ?
Java
Quels sont les 10 logiciels d’application ?
Quels sont les logiciels et les applications qui ont été les plus plébiscités par les internautes ?…Les 10 meilleurs logiciels et applications du moment
Quels sont les deux types de logiciels ?
Les deux principales catégories de logiciels sont le logiciel applicatif et le logiciel de système : le logiciel applicatif est destiné à aider les usagers à effectuer une certaine tâche, le logiciel de système est destiné à effectuer des opérations en rapport avec l’appareil informatique.
Où utiliser Python ?
Avec Python, on peut : créer et administrer un site Web. développer des logiciels et des applications, aussi bien pour ordinateur que pour téléphone. automatiser des scripts systèmes et des interactions ordinateur – navigateur Web.
C’est quoi le JavaScript ?
JavaScript est un langage de programmation qui permet de créer du contenu mis à jour de façon dynamique, de contrôler le contenu multimédia, d’animer des images, et tout ce à quoi on peut penser.21 sept. 2022
Comment apprendre à programmer tout seul ?
Les meilleurs sites web pour apprendre à coder gratuitement
Quel langage pour créer un site web ?
PHP
Quel est le langage de programmation de Facebook ?
Hack (langage)
Comment faire pour créer un logiciel ?
Les 6 étapes à suivre pour programmer un logiciel
Quel est le logiciel de base de l’ordinateur ?
Le logiciel de base le plus important est le système d’exploitation. Parmi les systèmes d’exploitation, on peut citer : MS-DOS, Windows, Unix, Linux.. 2) Les logiciels d’application : Sont choisis par l’utilisateur pour répondre à ses propres besoins ou faire des traitements particuliers.
Quel est le langage de programmation le plus utilisé au monde ?
Java
C’est quoi le HTML et CSS ?
C’est quoi HTML & CSS ? HTML, c’est : Hyper Text Markup Language ou langage de balise pour l’hypertexte. CSS, c’est : Cascading Style Sheets ou feuilles de style en cascade.23 juin 2021
Est-il difficile de coder ?
Le codage est-il difficile à apprendre ? Ça dépend. Chaque langage de programmation peut poser des défis aux apprenants, et certains programmeurs trouvent certains langages plus intuitifs. Pourtant, certains facteurs rendent plus facile ou plus difficile l’apprentissage d’un langage de programmation.
Quel langage de programmation pour commencer ?
En résumé, Python est le langage le plus facile à apprendre, C++ est le plus puissant, Javascript est le plus demandé, et Java a la meilleure longévité.23 août 2022
Qui crée un logiciel ?
Un développeur – également connu sous le nom de programmeur, codeur ou ingénieur logiciel – est un professionnel de l’informatique qui utilise des langages de programmation pour créer des logiciels informatiques.22 juil. 2021
Comment apprendre la programmation informatique ?
Programmer consiste donc à écrire des algorithmes informatiques. Apprendre le langage informatique est à la portée de tous. Vous pourrez ainsi développer des capacités de logique et d’analyse. De plus, dans le cadre d’une reconversion, cela vous permettra de trouver plus facilement un nouveau poste.
Quelle est la différence entre un logiciel et un programme ?
Un programme est une simple suite d’opérations qui exécute automatiquement des écritures numériques sur un support informatique, alors qu’un logiciel est un combiné de plusieurs programmes informatiques, ainsi que tout le nécessaire pour les rendre opérationnels: fichiers de configuration, images bitmaps et procédures …
Qui peut apprendre à coder ?
Femme ou homme, 18 ou 55 ans, artiste ou ingénieur – tout le monde peut apprendre à coder.23 mai 2018
Quel type de langage est Python ?
Python est un langage de programmation informatique généraliste. Contrairement à HTML, CSS ou JavaScript, son usage n’est donc pas limité au développement web. Il peut être utilisé pour tout type de programmation et de développement logiciel.
Quel est le langage de programmation le plus facile ?
Python
Quel est le salaire d’un programmeur informatique ?
Quel salaire et combien gagne un Développeur informatique ? Un développeur informatique perçoit un salaire net d’environ 2 000 euros par mois en tant que professionnel junior, et atteint les 4 500 euros par mois environ une fois qu’il sera très expérimenté.
Quel langage utiliser pour créer un logiciel ?
Le langage de programmation le plus connu est Java. On le retrouve absolument partout et sur tous les supports numériques, qu’il s’agisse d’un ordinateur, un smartphone, une console, un logiciel… Java est utilisé pour créer des applications puis pour les faire fonctionner.
Quelle est la différence entre un développeur et un programmeur ?
Un programmeur est chargé d’écrire un code sans faille afin de créer un logiciel fonctionnel. Un développeur sait aussi coder, mais il s’occupe surtout de l’élaboration de solutions à des problèmes informatiques. Bien que ces deux professions soient semblables, elles sont toutefois bien distinctes et se complémentent.15 sept. 2020
Quelle est la différence entre un programmateur et un programmeur ?
Programmateur, programmatrice = personne chargée d’établir des programmes de télévision, de radio, de cinéma, etc. Programmeur, programmeuse = spécialiste chargé de la mise au point de programmes informatiques.
Quel est le langage de programmation le plus utilisé en 2022 ?
Python
Il existe de plus en plus de matérielintelligent, d’outils qui ont été crééspour faciliter certaines actions. Pourtant, il faut bien que ces machines soient guidés et donc programmées parquelqu’un. Mais comment fait-on pourcontrôler une machine ? Enfin plus précisément : Comment fait-on pour créer un programmequi lui va guider la machine ? D’abord, avant de vouloir créer unprogramme informatique, on va devoir réussir à communiquer avec la machine. Pour cela, on va utiliser un langage que peut comprendre un ordinateur, un langage informatique,un langage de programmation. Parmi les langages les plus utilisés denos jours, il existe entre autres : le python, le java, le C pour de laprogrammation orientée logiciels, applications du php, du javascript ethtml pour la programmation orientée web. Même s’ils ont des noms différents,chacun leur spécificité ou même des syntaxes différentes, ils fonctionnent sur le même principe. D’ailleurs, ce que j’appelle lasyntaxe d’un langage de programmation : c’est la manière dont nous allons écriredans ce langage. Un langage informatique étant avant tout à langage, c’est normal que chacun contiennent ses propres mots, ses propres expressions et même ce que l’on pourrait appeler :sa manière de construire une phrase. C’est cela quel’on appelle la syntaxe et selon les langages, ça peutvraiment varier du tout au tout. C’est d’ailleurs cela qui est assezsurprenant, c’est-à-dire que sur la forme deux langages peuvent paraître totalementdifférents mais sur le fond, ils fonctionnent exactement sur même principe. C’est d’ailleurs super simple à comprendre. L’informatique, c’est de la logique,ça repose sur des mathématiques. Donc forcément les langagescommuniquant avec l’ordinateur sont fondés sur lesmathématiques et la logique Or les mathématiques c’est immuable, concret et surtout unique. Donc forcément, tous les langages informatiquesfonctionnent de la même manière. Mais quel est ce fonctionnement ? Avant tout, un programmec’est un document texte, un fichier texte sur lequel il y a une suite d’informations, destinées à guider la machine dans la tâche qu’elle devra exécuter. Cette suite d’instructions composece que l’on appelle un algorithme. L’algorithme c’est le plus compliqué à concevoir. C’est l’étape durant laquelleil va falloir avoir l’idée, trouver le moyen quifera que votre programme sera : tout d’abord fonctionnel, mais surtout qu’il sera plusrapide qu’un autre pour une même action. Par contre, du fait qu’un algorithme soituniversel, il peut se matérialiser sous plein de formes. Ce n’est qu’ensuite que l’on devratraduire cet algorithme dans le langagede programmation que l’on souhaite. Même si souvent et encore plusdans des petits projets, on a tendance à se lancerdans la programmation pur et dur. Il est toujours bien de se poser, de réfléchir et de faire un schéma avant devouloir commencer à coder. Ce schéma sera alors la constructionde notre algorithme. Enfin, ce sera tout simplement notre algorithme, sous forme schématisé, mais il nous permettrade mieux comprendre où l’on va et surtout comment on y va. Mais comment fabriquer ce schéma ? Comprendre comment fabriquer ce schéma, c’est comprendrecomment fonctionne un l’algorithme et donc c’est comprendre comment fonctionne la programmation au sens large. Un algorithme, c’est une suite d’instructions,une suite de commandes qui est conçu pour être lu de haut en bas. À chaque étape, la machine lit une commande,lit une instruction et la réalise. Il est alors possible de faire unalgorithme, avec des phrases en français comme si on réaliserait un protocole,en détaillant à chaque fois quelle commande il faut réaliser,donc quelle instruction il faut faire. Ce que l’on va faire, c’est que l’on va prendre un exemple très simple, un exemple mathématiques : on va réaliser un test de primalité. C’est-à-dire que l’on va essayer de faireun programme qui va permettre de reconnaîtresi un nombre est premier ou non. Pour rappel, un nombre premier,c’est un nombre entier positif qui admet uniquement deux diviseurs entiers positifs qui sont 1 et lui-même. Maintenant on va écrire notre protocole,donc l’algorithme. D’ailleurs, on est justement dans la phase de préparation, dans la phase de réflexion dont j’aiparlé. Donc à présent, on réfléchit. Ce que l’on veut faire c’est créer un protocole,donc un programme qui va permettre lorsque l’on reçoit un nombre d’identifier s’il est premier ou non. À présent, on sait où l’on va, on peut donc commencer. Prenons la définition d’un nombre premier : pour être premier, il faut qu’unnombre soit entier et positif. On peut donc exclure rapidement tous les nombres qui ne sont pas entier et surtout les nombres négatifs. De plus, 0 n’est pas premier parce qu’il admet une infinité de diviseur et 1 parce qu’il admet un unique diviseurqui 1 donc lui même. Donc on a déjà notrepremier test dans le test, c’est à dire qu’il faut que le nombre soit entier etsurtout supérieur ou égal à 2. On vient d’éliminer pas mal de candidats. On peut donc maintenant commencer à écrire notre test à proprement parler. Toujours par définition, un nombre premier n’est divisible que par 1 ou lui-même. Donc on va devoir prendre tous les entiersentre 1 et lui-même et vérifier s’ils sont diviseurs ou non. Si un nombre et diviseur de notre nombre testé, alors le reste de la division euclidienne del’un par l’autre est nul. Voilà c’est terminé, on s’est posé toutes les questions utiles à la création de notre programme. On peut maintenant s’y coller. La première consigne sera derecevoir un nombre. Une fois acquis, on va l’appeler VARpour que ce soit plus simple. Ensuite on va tester rapidement si VAR est éligible ou non, au fait d’être premier. Donc on va dire : si VAR n’est pas entier,ou que VAR est inférieur ou égal à 1, alors par définition, il ne peut pas être premier. Donc on va renvoyer l’information : »le nombre n’est pas premier ». Sinon on ne sait pas, tout est possible,donc on va devoir le tester. On arrive donc à la partie majeure de notre programme, à savoir de valider ou non la primalité de VAR. Ce que l’on va faire,c’est que l’on va prendre tous les entiers entre 1 et VAR exclut. Donc tous les entiersde 2 à VAR – 1. On va appeler ces valeurs Bet pour chacune de ces valeurs, on fera la division euclidiennede VAR par B. On va appeler RES, le reste de cette division. On a donc un nouveau test : si RES est nul, alors B est undiviseur de VAR donc VAR ne peut être premier. On peut donc s’arrêter et renvoyer l’information : »le nombre n’est pas premier ». Sinon, on ne peut rien dire, on ne peut pas conclure, donc on va devoir continuer à tester des nouvelles valeurs. Au final, lorsque l’on aura testé toutes lesvaleurs de B possible, on pourra affirmer que notre nombre est premier et donc s’arrêter et renvoyer l’information : »le nombre est premier ». Voilà c’est donc terminé,on a écrit notre algorithme. On sait maintenant à quoi ressemblenotre programme. Ici on vient d’écrire la version protocoliséede notre algorithme. C’est-à-dire un algorithme écrit avec des phrases,en français. J’ai parlé d’un schéma. Un algorithme peut se mettre sous n’importe quelle forme et ensuite être traduit. C’est ce que l’on va faire, on va traduire cet algorithme que l’on a écrit avec des phrases, en un schéma. Étant donné qu’ilexiste des milliers de possibilités, il y a des normes qui ont été créés. D’ailleurs, c’est ce que l’on peut remarquer dans mon protocole et dans le fait qu’il soit indenté. C’est-à-dire que j’ai effectué des tabulations,donc un décalage à certains endroits. Outre le fait de donner un effet de style etd’aérer le code, ces indentations permettent de séparer les différents blocs d’instructions. Ces blocs d’instructions sont des contraintesimposées mathématiquement, fondée sur la logique,dont on a normalisé la structure. Encore une fois, c’est pour cela qu’un algorithme peut être traduit dans différents langages et toujours rester le même. C’est parce qu’il se compose deblocs qui ont été imposés mathématiquement. Les blocs d’instructions, c’est très simple à comprendre parce qu’il y en a très peu. En fait, il y en a 3 principaux et un vraiment important mais qui ne peutpas fonctionner tout seul, donc il est un peu hors catégorie. Pour faire fonctionnerces blocs, il y a aussi des opérateurs logiques et des outils qui leurs permettent d’interagir entre eux. Ce que l’on va faire,c’est que l’on va décortiquer ce protocole. Parce que rien qu’avecles éléments qu’ils comportent, on va pouvoir comprendre chaque blocet son utilité. Un programme a toujours un début et une fin. Donc schématiquement parlant, on représente cela avec une ellipse avec écrit DÉBUT ou FIN. Dans ce protocole on reçoit un élément,un nombre que l’on appelle VAR. En fait VAR ce n’est pas choisi au hasard. C’est simplement parce que c’est unevariable. Une variable c’est une partie d’un disque dur, un morceau de sa mémoirequ’il alloue pour stocker ce que l’on souhaite. Une variable se caractérise pardeux choses : la première son nom, ici VAR et ce qu’elle contient,ici un nombre. Donc une variable c’est une boîte, une case de la mémoire du disque dur dans lequel est stockée une information. Les variables en algorithmique c’est ce qui permet de stocker de l’information et les réutiliser. En plus de créer une case que l’on appelle VARet d’y stocker un nombre, il faut justement recevoir ce nombre. Ici, l’information va de l’extérieurvers le programme. On symbolise donc cela par une flècheallant vers le bloc d’instruction. Ensuite, il faut renseigner les informations utiles, c’est-à-dire la nature de la réception,dans notre cas un nombre et dans quoi ce nombreva être stocké. Donc c’est-à-dire une variableque l’on va appeler VAR. Ce bloc d’instruction, c’est le premier type,c’est le plus basique, c’est un bloc quiest lié à une opération. Sur un schéma, c’est aussi le plus basique,c’est uniquement un rectangle. Ici, on a utilisé ce bloc pouraffecter une variable mais c’est aussi ce bloc que l’on utilise pour des opérations en général comme additionner deux variabless par exemple ou faire une temporisation dans notre programme. C’est-à-dire mettre notre programme en pause,pendant une durée déterminée. Ensuite on arrive dans le premier testd’éligibilité de notre nombre. On va tester ce nombre et selon les cason continuera ou non. On appelle cela un bloc conditionnelle. Sur un schéma,on représente cela avec un losange dont on écrit au centre la condition, donc le test qui va être réalisé, ainsi que deux chemins : le premier donne l’hypothèse que le test est validé. Le second que le test est faux D’ailleurs, on peut le voir aussi comme un : – SI – ALORS- SINON C’est-à-dire :SI ma condition est vérifiée, ALORS on fait telle action SINON, on fait telle action. Le test que l’on réalise,la condition que l’on cherche à vérifier est un processus durant lequelon ne peut répondre que par OUI qui symbolise un test vrai. Ou non qui symbolise un test faux. Par exemple : 5 > 1 ? Est un test VRAI. Ma variable contenant « Jérémy » est-elle un nombre ?Est un test FAUX. Etc, … on peut décliner cela avec presque tout. Encore une nouvelle fois en informatique,il va falloir trouver l’idée, le moyen qui fera que votre programme sera fonctionnel et si possible rapide. Les tests, ça peut paraître assez compliqué parce que c’est uniquement fondé sur la logique et du coup plusieurs résultats peuvent être VRAI. Si on reprend mon test de primalité,j’ai choisi une structure en OU. C’est-à-dire :SI ma variable n’est pas un nombre OU qu’elle est inférieur ou égal à 1. Dans ce cas, il va falloir que ces deux conditions soient fausses pour que mon programme continu et que l’on réalise le test de primalitéà proprement parlé. Par contre si j’avais choisi la structure opposée,c’est-à-dire : SI ma variable est un nombre ET qu’elle est strictement supérieur à 1. Dans ce cas, il aurait falluque ces deux conditions soient vraies et donc j’aurais placé le testdans le SI ALORS. Ces deux structuressont donc parfaitement identiques. Après, schématiquement parlant, c’est vrai que ce n’est pas malin d’avoir placé tous les blocs d’instructions dans la partie fausse. Mais bon, c’est juste et en plusdans la programmation écrite, c’est plus joli parce que cela donnentplus de continuité au code. On revient donc à mon schéma. J’y place alors un losange,sur lequel j’écris ma condition. La première branche supposeque mon test est VRAI. On va donc renvoyer l’informationque le nombre n’est pas premier. Cette information est donnée parle programme pour l’extérieur. Donc on place l’information : « le nombre n’est pas premier » dans un blog d’instruction classique et on réalise une flèche quiva du programme vers l’extérieur. Puis on termine le programme,en y mettant une ellipse FIN. La deuxième branche suppose que letest est FAUX. En logique, on place généralement un rond pour symboliser le NON. Si notre programme arrive dans cette branche,il va falloir tester si notre nombre est premier. Maintenant, on commence à s’y connaître et on voit que l’on a affaire à une nouvelle variable, une variable quis’appelle B. Ce qui est amusant, c’est qu’ici la variableva contenir plusieurs valeurs. Ce n’est pas un problème parce qu’une variable ne peut contenir qu’une seule information à la fois. Donc une fois que la variableva être implémenté d’une nouvelle valeur, elle supprimera l’ancienne. En fait, cette variable n’est pas vraiment comme les autres parce que c’est une condition d’une boucle. On appelle ce bloc d’instruction :une boucle. Encore une fois, il a plusieursmoyens de faire la même chose, ici il y a deux façons de faire une boucle. Même s’il est vrai qu’elles ne sont pas utiliséesdans les mêmes cas, la plupart du temps, le choix de l’une ou l’autren’a aucune importance et dépend seulement du choix du programmeur. Ces deux possibilités sont : la boucle TANT QUEou WHILE en anglais; la boucle POURou FOR en anglais. Je donne ces noms en anglais parce qu’en programmation on utilise exclusivement l’anglais. Le fonctionnement de la boucle WHILEest simple. On donne une conditionet tant qu’elle n’est pas respectée, donc tant qu’elle n’est pas vrai, on réalise ce qu’il y a dans le bloc d’instruction. Tant que telle condition n’est pasrespectée, on effectue telle action. Voilà comment ça fonctionne. On teste une condition, elle est fausse donc on rentre dans le blocet on y fait ce qu’il y a dedans. Une fois toutes les instructions finies, on retourne à la conditionet on la re-test. Une nouvelle fois, ci elle est fausse on retourne dans le blocet on y fait les opérations qui sont écrites, etc, etc … Ce n’est qu’au moment où lorsque l’on testera la condition et qu’elle sera vraie que l’on pourra sortir de ce bloc d’instruction et donc continuer leprogramme. Voilà pourquoi cela s’appelle une boucle. Parce qu’à partir du moment où l’on rentredans ce bloc d’instruction, on stop notre avancée dans le programme et on réalise des boucles dans ce bloc. Pour mon programme,j’ai choisi l’autre solution, la boucle FOR. ici le bloc fonctionnerade la même manière. Une condition et tant qu’elle n’est pas respectée,on réalise les instructions qui sont dans le bloc. La condition par contre est sur les valeursque va prendre notre variable, ici la variable B. Cette condition est : tant que B n’aura pas pris les valeursde tel nombre à tel nombre, alors faire telle opération. Justement, c’est pour ça que j’ai choisice type de boucle parce que je connaissaisla valeur de départ : 2 et la valeur d’arrivée : VAR – 1. Dans mon schéma, étant donnéqu’il me faut une condition, je vais prendre le symbole du test,donc un losange. Auquel je vais y ajouter une flèchequi boucle et retourne vers la condition. Je place ensuite mes blocs d’instructions avantque la flèche ne re-boucle. On arrive maintenantsur le dernier bloc inconnue C’est le plus compliqué parce qu’il nepeut pas fonctionner tout seul et qu’il nécessite un certain recul. Pourtant une fois maîtrisé, c’est le plus puissant et le plus pratique. Dans mon algorithme,on arrive à l’étape où je vais avoir besoin du reste de ladivision euclidienne de deux nombres. Même si on comprend facilement lorsquej’écris ça : Que je vais avoir besoin de calculerle reste de la division euclidienne de VAR par B et qu’ensuite je devrais stocker ce résultat dans une variable RES. L’ordinateur, lui ne sait pas tout ça. Je vais devoir lui dire,je vais devoir lui expliquer tout ce processus. Ce processus, justement c’estcet algorithme. On est d’accord que si je mets celadans mon test de primalité, ça va l’alourdir pour pas grand chose. C’est pour cela que l’on va utiliserun bloc que l’on appelle « un appel un processus prédéfini » ou plus simplement « une fonction ». De toute manière, mon algorithmede division euclidien, je devoir l’expliquer mon ordinateur, il ne peut pas le comprendre tout seul. Donc cet algorithme, je vais l’écrire, je vais le coder mais je vais le placer dans unfichier texte différent de mon test de primalité. Je vais doncdire à mon ordinateur : va chercher tel fichier et récupère le résultat que tu obtiens lorsque tu rentres ces données. C’est pour cela que ce blog est compliqué parce qu’il faut réussir à l’anticiper. Mais après, une fois créé,il est super efficace parce que l’on peut l’utiliserautant de fois que l’on veut. On peut l’utiliser où l’on veut,dans n’importe quel programme et surtout sans alourdirle code. J’ai d’ailleurs dit qu’il était hors catégorie justement pour le faitque l’on peut très bien s’en passer, c’est juste que ce seraitvraiment alourdir les choses. Pour créer ce bloc, je vais avoir besoin d’un nouveau fichier texte que je vais appeler »resteDivisionEuclidienne ». Je ne vais pas m’embêter. Ensuite, je vais définir les donnéesqu’il aura besoin. Donc, il a besoin de deux nombres entiersVAR et B. Je ne vais pas compliquer les choses mais on aurait pu les appeler n’importe comment mais pour faire simple,je leur ai donné les mêmes noms. Maintenant j’écris mon programmeet puis à la fin j’ai écrit ce qu’il doit me renvoyer. C’est-à-dire : RES. Maintenant j’enregistre ce fichiersur mon ordinateur et puis c’est terminé,je vais pouvoir l’utiliser quand je le souhaite. De retour dans mon test de primalité, je vais utiliser ce bloc de fonction. Sur un schéma,on le symbolise par un rectangle doublé. Je renseigne dans ce bloc le nomde ma variable que je souhaite : RES. Encore une fois, ils ont le mêmenom pour que ce soit plus simple. C’est dans cette variable que sera stockéle résultat qui sort de ma fonction. Ensuite, j’écris le nom de ma fonction pour quemon programme sache où la trouver. Puis, je lui renseigne les informationsdont il aura besoin, c’est-à-dire deux variables :VAR et B. Pour faire un exemple concret, si je tape RES égale « resteDivisionEuclidienne » 12 et 5. Ce que contiendra la variable RES, la valeur que contiendra RES sera 2. À présent on dispose de toutes les informations utilespour finir d’écrire notre programme. À noter, qu’il est possible d’encastrer les blocs d’instruction. C’est-à-dire effectuer des instructions dans des instructions et donc de les empiler. C’est le cas par exemple du prochainbloc conditionnelle qui est placé dans la boucle. Ensuite on connaît tout le reste. Si cette information est vraie,alors on renvoie telle information et on termine le programme. Sinon on ne peut rien dire,il faut tester une nouvelle valeur. Je n’ai donc rien besoin demettre dans le chemin condition fausse parce que c’est implicitequ’il ne faut rien faire. À la fin de notre boucle, lorsque que l’on aura testé toutes les valeurs possibles, on pourra faire un renvoiet terminer notre programme. Ça y est c’est fini,on vient de coder ce programme, on vient de coder ce test de primalité. Finalement, ce n’était passi compliqué que ça. En plus, maintenant que l’on connaîttous les blocs d’instructions et quelquesoutils de programmation, on va pouvoir coder n’importe quelprogramme. Enfin la plupart. Voilà, j’espère que ça n’a pas été tropcompliqué, pas trop conséquent parce que malheureusement,ce n’est que la base. On se retrouve bientôt. Salut !