Qui est le concurrent de Facebook ?

Qui est le concurrent de Facebook ?

Comment dire de rien poliment ? Dans cet article nous allons découvrir 12 expressions pour dire « de rien » en français : Est-ce que le monde est fini ? L’Univers visible et invisible Comme son âge est « fini », nous ne pouvons observer qu’un volume fini : c’est l’Univers observable (ou visible). Il ne représente probablement que 2% de l’Univers entier, au sein duquel la lumière possède une vitesse finie et constante dans toutes les directions.6 févr. 2022 Comment lui faire avouer son amour ? 6 conseils pour lui faire avouer ses sentiments Est-ce que les logos sont libres de droit ? Un logo est protégé par le droit d’auteur dès sa création et sans formalité spécifique. Tous les logos ne sont donc pas déposés en tant que marque ou dessin. Si les résultats fournis par les bases de l’INPI ne sont pas exhaustifs, ils se révèlent parfois surprenants.10 avr. 2017 Quelles sont les signes d’un couple au bord de la rupture ? 8 choses que les couples au bord de la rupture font…


-Bienvenue dans ce numérode « Geopolitis ». La plateforme chinoise TikTokest la plus téléchargée au monde devant Facebook, premier réseausocial, et qui entend le rester en développant son métaverspeuplé d’avatars. Dans cette jungle du monde virtuel, la question centraleest celle de la régulation. L’UE veut montrer l’exempleavec son Digital Services Act. Des inconnus sont devenus richesen postant des photos ou des vidéos. D’autres influenceursont un rôle plus politique. Les algorithmes ont-ils prisle contrôle de nos cerveaux ? Sommes-nous devenusdes esclaves des plates-formes qui n’hésitent pas à nous manipuleret à nous soutirer des données qu’elles vont transformeren dollars ? Quand c’est gratuit,c’est vous le produit. Nous le verrons avec notre invité,Anouch Seydtaghia, journaliste. Ces questions sont crucialesquand on sait que les huit principalesplateformes mobilisent notre attention pendant 2,5 par jour. Avec des conséquencesparfois désastreuses. Facebook a été mis en causedans l’attaque du Capitole, les massacres de Rohingyaou pour les suicides d’adolescentes obnubilées par les modèlescorporels d’Instagram. En Italie, TikTok est mis en causeaprès la mort d’une enfant de 10 ans alors qu’elle voulait releverun défi sur la plateforme. -Ils tuent des gens. -Dans ce cas, le président américainfaisait référence aux 12 influenceurs à l’origine sur Facebook de 73 %des messages de désinformation sur la vaccination contre le COVID. Le contrôle de l’algorithmedevient crucial alors que Facebook et TikTok se sontlancés dans une compétition féroce. -Bonjour et bienvenuedans « Geopolitis »et bienvenue dans le métavers. -Et si l’Internet du futurressemblait à ça ? Un univers numérique parallèleoù votre émission, votre cours de fitness, votre apéro étaient matérialisésen trois dimensions ? -Un futur dans lequel, avec une paire de lunettes, vous irez au-delà du monde physique. -Les déclinaisons sont infinies:travail, jeux, éducation… Le patron de Facebook s’y voit déjàet entend terrasser la concurrence. Pour ses ambitions, Mark Zuckerberga rebaptisé son empire… -Meta. Nous avons un nouveau nom qui reflète ce que nous faisons et le futur que nous voulonsaider à construire. Nous voulons privilégier le métavers. -Avec Meta, Mark Zuckerbergvoudrait-il faire oublier les affaires qui embarrassentle réseau social ? C’est une ancienne employéequi a sonné la dernière charge. -Facebook fait toujours primer ses intérêts financiers avant la sécurité. Ceci a attisé les divisions,les extrêmes et la polarisation. -Elle prie son ancien employeurde revoir ses priorités alors que le groupe prévoitd’investir dans son métavers 10 mias de dollars par an. Cet univers virtuelne devrait pas être opérationnel avant plusieurs années, maisdans la version de démonstration, des utilisatrices dénoncent déjà des agressions sexuellessur leur avatar. En cinq ans, TikTok a conquis un milliard d’utilisateursà travers le monde. Meta conserve encore une avance, presque la moitiéde la population mondiale se connecte chaque moisà l’une de ses plateformes. Mais TikTok a su séduirele jeune public qui délaisse Facebook et Instagram. Depuis 2020, TikTok estl’application la plus téléchargée. La plate-forme a tout misésur les vidéos au format court. En pleine pandémie,elle a attiré un public plus âgé, et même Emmanuel Macron. -Ce message est pour vous. -C’est la première fois qu’une application chinoiserencontre un tel succès. Donald Trump avaittenté de l’interdire aux USA, l’accusant d’être un outildes services secrets chinois. -L’Inde a même banniTikTok depuis 2020. -Ces mesures sont contraires aux principes du marché et aux règles de l’OMC. Elles portent atteinte aux droits et aux intérêtsdes entreprises chinoises. -La réussite de TikTok à l’étranger est un formidableoutil d’influence pour Pékin. À l’interne, le régime a engagéune remise au pas des géants du numériqueen leur imposant de nouvellesréglementations antimonopole. Le fondateur de TikTokvient de démissionner, mise à l’écart, comme le fondateurd’Alibaba et d’autres. Le gouvernement accentue aussila pression sur les utilisateurs. Les jeunes Chinois n’ont droitqu’à 40 min par jour sur Douyin, le nom de TikTok en Chine. -Bonjour Anouch Seydtaghia.-Bonjour. Vous êtes journaliste au Temps, spécialistedes nouvelles technologies. On vient de le voir:Facebook est menacé par TikTok ? -Non, pour les dirigeantsde Facebook, c’était une surprise que TikTok émerge ainsiavec 1 mia d’utilisateurs. Mais le groupe Meta:c’est Instagram, WhatsApp. Il y a encore un potentiel immense pour ce groupe pour lancer de nouveaux services. Instagram est prisépar les adolescents, et WhatsApp pourrait incluredes micropaiements à l’avenir. Facebook peut rester largementdevant TikTok. -Justement, cette fuite en avantdans le métavers, c’est l’ambition de rester leaderen créant cet univers avec des avatarsparfois inquiétants ? -Absolument, on crée un monde,et on le contrôle. Le Web était ouvert;des empires se sont formés. Mais aucun ne peut contrôlerl’entier de ce système avec un métavers,en fixant ses propres règles, en déposant ses propres brevets. Facebook a déposé de brevetspour la couleur de peau des avatars. Il y aura une maîtrisedes transactions qui seront faites, et de toutes les données. -La conséquence:on sera plus accros à nos écrans. 70 % de temps en plusdevant les écrans pour les ados, 40 % pour les adultes,on est piégés ? -On peut parler d’addiction,de gimmicks lancés récemment avec les likes, les notificationspour nous inciter à revenir vers les écrans. Les écrans ressemblerontà des lunettes connectées; Facebook en a déjà lancé. Des casques de réalité virtuellequ’il faudra faire adopter. Toutes les tactiques d’addictionseront démultipliées à l’avenir pour les adultes et les adolescentsqui sont une cible importante. -Vous parliez des likes:Facebook voulait les supprimer. C’est un système de récompense,ça fonctionne au niveau du striatum. C’est la molécule du plaisir. -Il y a eu des avancées aussisur Instagram, mais dans les faits,quasiment rien. Les algorithmes sont un peu modifiés. YouTube a enlevé le pouce à l’enverspour que les créateurs de contenu soient désarçonnéspar les messages négatifs. Mais les likes sont toujours là,la gamification est importante: je publie, et j’ai enviede savoir qui m’aime. Ca peut avoir un impactsur les adolescents. -Joe Biden dit que le liketue des gens. Sur Instagram, il y ades suicides d’adolescentes qui ne se trouvent pas conformesaux canons imposés par le réseau. Sur TikTok,une fille de 10 ans est morte en s’étranglant suite à un défi,c’est un vrai danger ? -Il est très important. On l’a vu avec les Facebook Files,une enquête publiée fin 2021. Ces entreprises sont conscientes du mal qu’elles font,mais peu de mesures sont prises. La charge est pour les parentscar les ados sont fragiles, L’adolescence est un moment compliquéau niveau physique, mais maintenant au niveau virtuel,il faut un encadrement de la part des régulateurs. -Revenons sur Frances Haugenet ses dénonciations. Y a-t-il un avant-aprèspour Facebook ? Financièrement,aucune conséquence en tout cas. -Je crains qu’il n’y en ait aucune. Souvenons du scandaleCambridge Analytica en 2018. Facebook avait perduquelques millions d’utilisateurs. Ils sont vite revenus,et continuent de croître. Aujourd’hui, on se souvient un peudes propos de F.Haugen, mais après ce sera vite oublié. L’empire Facebookest tellement important, ces services sont si addictifs,et si importants pour les médias, qu’il ne se passe plusgrand-chose derrière. -C’est ce phénomènede bulle avec un filtre. On ne peut pas sortir de ce monde ? -C’est difficile: on nous montreun contenu addictif, et c’est là-dessus qu’on va cliquer. C’est le modèle d’affairesdes réseaux sociaux qui est en jeu. J’avais interviewé Roger McInerney, l’un des premiers investisseursde Facebook. Il accuse le modèle d’affairesdes réseaux sociaux qui font tout pour que l’on clique,avec des pratiques à la limite de la légalitéqui peuvent affecter la démocratie. -Parlons des dérives:elles seront peut-être encadrées avec des règles plus contraignantes. C’est l’ambition de l’UEqui montre la voie. On se retrouve juste après. -Nous n’avons pas fait assez pour empêcher que ces outils ne soient utiliséspour faire du mal. -Nous nous sommes engagés à protéger l’intégrité des informations sur nos plateformes. -Les mea culpa ne suffisent plus:après un certain laisser-faire, des Etats tententde reprendre la main sur les géants de la techet sur leurs réseaux sociaux, accusés de propager fake newset discours haineux ou de nuire à la santédes plus jeunes. Musique rythmée -L’offensive vient de l’UE, lancéedans un programme de régulation. -C’est pour les citoyens européens, notre démocratie, nos entreprises, et une concurrence juste. -Deux règlements sont en examen. Le DMA doit permettre d’éviterque les plateformes numériques n’abusentde leur position dominante. Le DSA doit renforcerla lutte contre les contenus illégaux, terroristes, haineuxou discriminatoires. Ces textes devraient entreren vigueur début 2023. Ils rejoindront le RGPD:le règlement européen qui impose d’obtenirle consentement explicite des internautespour récolter des données. Aux USA, divisionsur les mesures à prendre. Les démocrates aimeraient sévir;ces réseaux sont accusés d’avoir jouer un rôledans la radicalisation des émeutiers qui ont pris d’assaut le Capitole. Les républicains ne veulent paslaisser aux plateformes le droit de déciderqui peut s’exprimer, alors que les comptesde Donald Trump sont suspendus. Les plateformes mettent en avantleurs initiatives. Facebook a créé sa Cour suprêmeà laquelle peuvent s’adresser les utilisateurs contestantles décisions de la plateforme. Ce groupe d’experts a confirmé lasuspension des comptes de D.Trump. Facebook aurait désactivé5 mias de faux comptes en 2020. Instagram prometune protection des adolescents, YouTube a retiré130’000 vidéos de désinformation sur les vaccins contre le COVID. -L’UE a un rôlede leader dans la régulation. Les USA sont à la traîne ? -Nettement. Frances Haugenavait fait une tournée mondiale. Elle avait parlé devant le Congrès et le Sénat. Des démocrates avait légiféréen disant qu’il fallait agir. Mais depuis, rien. Il y a un tel combatentre démocrates et républicains que ça va être compliquéde lancer des nouvelles lois. L’espoir est dans l’UEavec ces nouveaux règlements. C’est ce qui doit être faitpour réguler les réseaux sociaux. -Si on revientsur ces comptes de haine, ils ne représentent que 2 à 3 %des 4 mias de comptes. Mais ils ontdes conséquences énormes. La régulation peut s’attaquerà ces comptes ? -Oui, on peut obliger ces plateformesà réagir plus rapidement lorsque du contenuest déclaré illicite dans un pays. Au niveau mondial,les appréciations sont différentes, mais on pourrait avoir un contrôlede certains algorithmes, avec des experts qui ont un accèsaux réseaux sociaux. Les Etats ne peuvent pas changerle modèle d’affaires des réseaux sociaux, c’est plié, mais au moins,ils peuvent les réguler. -Facebook met en avantleur Cour suprême. Le seul client, c’était Donald Trumpqui a été interdit d’avoir un compte. Ce n’est pas de la poudre aux yeux ? -C’est une privatisationde la justice: ne pas vouloir que la justice agisseet confier cela à une cour privée. On ne sait pas ce qu’elle a faitdepuis une année. Certains cas ont été isolés. On a vu des membresde cette Cour suprême de Facebook s’indigner après les révélationsde F.Haugen. C’est une cour alibi. -Pourtant, Facebook met en avantla suppression de mias de comptes. Ils font quand même le boulot ? -Tous les réseaux sociauxfont un travail important grâce à leurs algorithmes,et aux nettoyeurs du Web. Mais c’est une goutte d’eaupar rapport aux possibilités. C’est un travail de communicationpour éviter une régulation, mais les actions sont insignifiantes. -Pourtant, Facebook est le GAFAle plus surveillé aux USA. Zuckerberg est passédevant le Congrès, on le menace de subir le même sortque l’industrie du tabac. N’y a-t-il pas une volontéd’arriver à contrôler Facebook ? -Il y a des auditions, mais qui n’aboutissent à rien. Aux USA, la section 230protège les réseaux sociaux. Ils ne sont pas responsablesdes publications; ils doivent réagirsi c’est illégal. Il y a des actions en justicede la part d’Etats, ça risque de se diluer dans le temps. Il ne faut pas oublier que Facebookest un champion national pour les USA et ils n’ont pas intérêtà l’affaiblir par rapport à un concurrent étrangercomme TikTok. -TikTok, niveau régulation,c’est le grand mystère. -La Chine veut agirpar rapport à son marché intérieur: ça pourrait avoirune influence au niveau mondial. Des enquêtes ont été menéespar rapport à des données, la biométrie,concernant des adolescents. Ca peut être inquiétant:c’est une boîte noire, mais qui n’est pas plus foncéeque celle aux USA. Il ne faut oublierl’enjeu géopolitique derrière. D.Trump a frappé fort contre TikTok,J.Biden ne s’y intéresse pas. -C’est un combat entre Chine et USApar réseaux sociaux interposés ? On revient au bras de ferqu’on connaît. -Est-ce que TikTok va survivreces prochaines années ? Ce n’est pas certain. Le groupe Meta copiece que fait TikTok. C’est un feu de paillequi peut disparaître. -On a parlé du moment Frankenstein:l’algorithme a-t-il pris le pouvoir ? -Des ingénieurs de Facebookn’arrivent plus à voir quels sont les effetsdes algorithmes. Là encore,c’est de la poudre aux yeux. Avec 2 mias d’utlisateurs,et la possibilité de faire des tests, on arriveà contrôler les algorithmes. Le fait de se réfugierderrière une boîte noire, c’est faux. Il y a une responsabilité énormedes dirigeants de Meta par rapport à l’offre des réseaux. Ils ne devraient pas se réfugierderrière des algorithmes. -Zuckerberg sait très bience qu’il fait ? -Oui, tout est géré,des expériences sont faites pour voir les réactionsdes utilisateurs. 2 mias de cobayes, c’est un champd’investigation fantastique pour extraire des données,à but publicitaire. -Merci pour ces explicationssur cet univers virtuel auquel on n’échappe pas;on continuera à vous lire. -Merci à vous. -Les influenceurssont un des vecteurs qui permettent aux plateformesde capter notre attention. Des inconnus devenusdes célébrités digitales et que se disputent les marques,mais certains ont un rôle politique. -Ils sont jeunes,ont déserté le champ politique, et suivent peules médias traditionnels. Ce nouvel eldorado est convoitépar des politiques de tout bord. C’est la ciblequ’a choisie Emmanuel Macron, pour faire passer son messagesur les gestes barrière. -Faites une vidéo,et si vous avez 10 mios de vues, vous venez tourner à l’Elysée. -Seulement si on fait avec E.Macronun concours d’anecdotes. -Pari réussi pour McFly et Carlito deux YouTubeursavec 6 mios d’abonnés. En 3 jours, 10 mios de vues,et les voici à l’Elysée pour un concours d’anecdotes. -Cette phrase est folle. -Humour potache, irrévérencieuxface au chef de l’Etat, la vidéo crée le buzz, mais E.Macron a-t-il atteintson public cible ? -C’est difficile à déterminer, sachant qu’un sondage montrait que 62 % de la génération Znée après 1997, estimait que les politiciensn’avaient pas à apparaître dans des vidéos avec des YouTubeurs. Et un pourcentage plus importantestime que le personnel politique n’avait rien à faire sur TikTok. -Il a aussi été questiond’influenceurs à Minneapolis. En ce 20 avril,c’est le soulagement qui prime. Derek Chauvina été reconnu coupable d’avoir étouffé George Floydpendant 8 minutes. La ville s’est barricadéeen vue de ce procès. La mairie pensait recruterdes influenceurs pour calmer le jeu. L’idée: diffuser des messagesapprouvés par la mairie. A la dernière minute,celle-ci a renoncé. -Il y a une totale imposture de faire passer un message par des influenceurs. Le but est de faire croireque c’est l’avis de la population. En réalité, c’est la parolede la municipalité. -Difficile de faire la différenceentre propagande et influenceur. -Depuis le témoignage de la lanceused’alerte Frances Haugen, Facebook est dans le collimateurdes sénateurs aux USA. En 1998,c’était le procès antitrust attenté contre Microsoft. -Lorsque que vous allumezvotre ordinateur avec Windows 95, voici ce qui apparaît. Internet Explorer. Vous allez utiliser ce logiciel,et pas celui de ses concurrents. Voilà pourquoi le Départementde la justice américain poursuit Microsoft pour violationdes lois antitrust. Pour Washington, Microsoftétrangle le marché d’Internet. -Cette séquencesemble d’un autre âge. Elle explique pourquoidès le 19 octobre 1998, Microsoft se retrouvedevant la Cour fédérale pour abus de position dominante. A l’époque, Microsoftéquipe 9 ordinateurs sur 10. Face au Congrès, Bill Gatesdéfend son droit à l’innovation. -Nos programmes informatiques sont basés sur des idées et aucune entreprise au mondene détient le monopole des idées. -Microsoftpourrait-il être démantelé pour monopole abusif,à la manière de AT&T en 1983 ? -Il est probable que ce procès se solde par un accord transactionnel entre Microsoftet l’autorité fédérale. Microsoft accepterad’incorporer du software développé par des concurrents afin qu’ils accèdentaux consommateurs. -Charles Adams ne s’est pas trompé:3 ans plus tard, Microsoft est reconnu coupablede concurrence déloyale, mais le gouvernementlui propose un accord. Microsofts’est vu contraint d’accepter que les fabricants d’ordinateurspuissent installer des logiciels concurrentssur le système Windows. -On a évoqué la fuite en avantde Facebook dans le métavers. Une thématique dont s’est emparéSteven Spielberg dans « Ready Player One » en 2018. Un film où un univers virtueldevient le seul refuge. -Mais cette vision inquiétanten’est pas celle de tous. Bruno Patinovient de publier un essai stimulant sur l’univers numérique: »Tempête dans le bocal ». Je vous encourageà suivre « Géopolitis » sur les réseaux sociaux,sur TV5 Monde et nos canaux. Je vous remercie de votre fidélité,portez-vous bien. Sous-titrage SWISS TXT

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